Leur maladresse récurrente à la finition a de nouveau plombé nos SM1, dans la rencontre amicale, qui les opposait, hier soir, au voisin Asniérois.

Aucun des trois sept mètres dont ils ont bénéficié, convertis, une multitude d’occasions aux six mètres gâchées, les défaillances dans l’exercice du tir ont encore pesé lourd, et privé les partenaires de Théo Charles d’une victoire, contre un adversaire, également à la peine en championnat.

Les deux équipes travaillent avec acharnement pour trouver des solutions aux problèmes qu’elles traversent. Côté Bois-Colombien, les nombreuses blessures contraignent Guy Vigné à utiliser certains joueurs dans un registre inhabituel. Cette polyvalence imposée enrichit le bagage technique des joueurs, en même temps qu’elle renforce le collectif…, pour peu que la finition soit au rendez-vous.

Mais elle a aussi ses limites.

A égalité à la pause (14 – 14), nos garçons ont fini par céder, 24 – 27.

Dans une semaine, les Bleus se déplacent à Roissy dans le cadre de la quatrième journée de championnat. Peut-être y trouveront-ils le déclic…

S’il a repris le 14 septembre, le championnat de France N3, décidément très morcelé, observe une nouvelle coupure ce week-end, après celle du 28 septembre, et avant celle du 26 octobre…

Difficile dans ces conditions de trouver, ou garder, le rythme de la compétition. Pour palier cet inconvénient majeur, les Bleus disputent un match amical ce soir à Asnières, qui évolue dans la même division qu’eux.

Outre ces problèmes de cadence, les hommes du duo Vigné / Bulayima sont confrontés à une cascade de blessures, qui grignote leurs effectifs.

La dernière en date ? Celle de Théo Sadrin, survenue hier soir à l’entraînement. Le jeune demi-centre est touché au genou, comme Youri Mazzocchi,  qui après s’être rompu les croisés, samedi dernier contre Saint-Maur, est indisponible pour le reste de la saison.

L’infirmerie déborde puisque ces indisponibilités s’ajoutent à celles de Baptiste Person (absent contre la Stella) et Jérémie Houssays (dos). De quoi filer le blues, dans une période où il serait indispensable de pouvoir compter sur toutes nos forces vives.